Il était un village

De nobles conteurs, à l'esprit empli de légendes et de hauts-faits, parcourent souvent notre belle place ! Venez les écouter !

Il était un village

Messagepar Tower » Mar 22 Nov 2005, 20:28

Le village était calme, je regardais les enfants courir dans la prairie alors que leurs pères attelés à leur dur métier, abattaient et élaguaient les arbres. Je m'amusais à observer cette communauté unie autour d'une activité, l'exploitation de la forêt.

Les hommes coupaient, les femmes replantaient les jeunes pousses après eux et les enfants apprenaient en les regardant. Les seuls sons qui encensaient la région étaient ceux du martèlement des haches contre le bois mêlé aux chants des femmes et cris de joie des enfants. Tout était harmonie, même la forêt semblait reconnaissante du soin que prenaient ces villageois à l'entretenir.

Je la regardais, elle était belle comme le jour, un rayon filtrant des feuilles caressait son visage, j'imaginais mes bras lui offrir la même douceur de cette chaleur. Nos regards se croisèrent et je rougis un peu. Il n'a jamais été simple pour moi d'affirmer mes sentiments et mon plus dur combat a toujours été de les exprimer. Elle m'adressa un sourire léger et repris ses occupations. Mes yeux ne la quittaient pas. Comme j'espérai que la soirée viendrait, que je trouverai le courage de me glisser sous sa fenêtre et lui chanter tout l'amour que j'éprouvais pour elle. Oh l'inspiration ne me manquait pas, l'imagination non plus d'ailleurs. Je prendrais le petit sentier qui mène à sa maison puis je me posterai sous sa chambre et j'entonnerai un petit air doux jusqu'au moment où elle ouvrirait sa fenêtre. Alors comme transportés, on se sourirait et je continuerai la mélodie du musicien amoureux, elle m'écouterait, me regarderait, m'aimerait peut être ? Tant qu'elle me remarque et que je réussisse à la faire rêver, je serais heureux.

De mes rêves, le soleil me tira. Il devait être aux alentours de midi et déjà quelques femmes préparaient la grande table où l'on partageait le grand repas commun.

Mon regard reparti vers elle, je m'installerai près d'elle et nous ririons gaiement, profiterions de la vie telle qu'elle est et révérions de futur.

Elle déchira mon âme, cette flèche quand elle perça son flanc. Je ne pu retenir un cri et m'élança vers elle alors qu'elle s'effondrait sous le choc. Je devins sourd à tout ce qui se passaient autour, les cris des femmes touchées sous la grêle de flèches ensanglantaient l'heureuse assemblée, les hommes accoururent armés de leurs haches, le village était attaqué.

Ma belle étaient à terre, un projectif me toucha à la cuisse, je tombais. Je rampais vers Elle, je voulais la mettre à l'abri de cet ennemi invisible protégé par les bois et qui s'acharnaient à nous tirer dessus. Les hommes et les femmes autour de moi tombaient.

Certains entraient dans la forêt pour combattre les terribles archers mais seuls les râles d'agonie des bûcherons nous revenaient. Je rampais jusqu'à Elle encore, seulement quelques centimètres nous éloignaient, elle me regarda encore une fois, elle savait que je venais la secourir, la tirer de là, non, je ne la laisserai pas mourir, pas ici, pas comme çà, je lui disais de toute mon assurance, je voulais la rassurer. Mes mains se tendirent vers les siennes quand une deuxième flèche la toucha à la poitrine. Infâme sang, infâme derniers souffles, non ne t'en vas pas, elle me tendit ses doigts comme dans un dernier effort mais elle lâcha son dernier soupir avant. Je ne pu l'atteindre. Les larmes me montaient aux yeux. Non, on ne pouvait pas faire ça, pas à elle, non pas à eux, pas à ce village qui m'avait abrité, moi le vagabond.

C'est alors que je les vis sortir, ces ombres de la forêt décidés à finir leur sinistre besogne, des villageois s'étaient réfugiés dans leurs maisons. Ils les abattraient tous.

Je la serrais tendrement contre mon coeur, malgré tout, prêt à mourir auprès d'Elle. Ils ne me remarquèrent pas et enfoncèrent les maisons pour y abattre les derniers survivants. Les cris de terreur me réveillèrent, je tentais de me lever malgré ma cuisse blessée et me dirigeait vers la maison la plus proche.
J'avancais jusqu'à l'entrée de la maison pour les apercevoir, tenants dans leurs mains des dagues souillées de sang innocent. C'étaient des elfes... des elfes qui anéantissaient ce village et tuaient ses habitants. Les trois qui venaient d'anéantir la famille gisante à leurs pieds me fixèrent froidement, je ne pu leur rendre qu'un regard froid et déterminé, non je ne fuirais pas et je sorti ma lame, comme je m'en voulais alors de pas avoir privilégié la voie des armes, ne pas avoir appris à me battre. Ils me sautèrent littéralement dessus, je n'eu pas le temps de frapper que le froid de leurs armes mordaient dans ma chair.

Je fermais les yeux de douleur...

Le froid me réveilla, la nuit était juste tombée, le brouillard déposait son manteau comme un voile pudique sur les cadavres gisants.
Je tentais de me lever, les douleurs de mon corps m'en empêchèrent, je m'effondrai. Une heure ou deux passèrent ? Je ne sais pas, je me réveillai à nouveau et tenta de me lever en prenant appui contre le mur, je souffrais mais je voulais m'étendre près d'elle pour l'éternité. J'avancais vers elle, je tombais, serrais les dents, rampais, m'évanouissais de douleur encore et encore mais je finis par la rejoindre. Elle semblait dormir profondément comme si tout ça n'était qu'un mauvais rêve. J'enserrai doucement ses mains dans les miennes, mes yeux étaient baignés de larmes, ma voie tremblait et je murmurais une petite chanson, juste pour nous deux :

Moi, barde, vagabond des routes,
Moi troubadour, j'étais dans le doute

Quand l'abri d'une maison on m'offrit
Dans un village, on m'accueillit

Mon coeur s'y réchauffa
auprès d'elle...
La joie arriva
auprès d'elle...

A toi,
A moi,

A nous pour l'éternité...

Mes yeux se fermèrent sur son visage, il me sembla qu'elle me sourit.

Delrio barde





Fils de la déesse de la forêt, vous rangers avez juré de protéger votre mère nature. Vous qu'elle a nourri, protéger, aimer. Rendez-lui ce qu'elle vous a donné aujourd'hui. Ils saignent notre mère à tous, abusent d'elle et se permettent de décider des emplacements de nouveaux arbres à la place du maître Destin ! Non, nous ne pouvons laisser ceci impunis, non, nous ne le tolérerons pas !

Que chacun prenne ses armes. Prennez vos arcs, vos flèches, vos dagues et marchez sur ce village odieux ! Allez mes enfants, soyez le bras vengeur de la Forêt et du Destin !

«*Encore du sang, à quoi bon, ne pouvait-on pas juste les intimider ? Ces colons qui viennent s'installer dans la forêt ne sont pas des mauvais bougres, ils ne savent pas c'est tout.*»
«*et n'oublies pas qu'il s'agit de familles*» me répondit mon plus grand frère
«*raison de plus...*» lui répondis-je

Je ne voulais pas de ces guerres entre peuples tout comme mon frère aîné mais notre clan avait tenu son rôle de protecteur de la forêt depuis des millénaires. Nous ne pourrions plus rentrer chez nous si nous ne faisions pas notre devoir. «*alors nous le ferons...*» dit mon frère.

Je rentrais chez moi, Eldia était endormie, ma chère soeur aveugle était toujours autant extrémiste, elle m'aurait poussé à aller au combat, ça m'aurait peut être aidé mais je ne voulais pas la déranger. Sa maladie était trop pénible pour elle, elle avait besoin de repos et qui sait combien de jours, elle tiendrait encore ? Ma douce femme me rassura cependant, elle comprit que je n'y allais pas de gaieté de coeur et elle trouva les mots pour me donner du courage.

Elle m'aida à m'équiper de mon armure en cuir renforcé, elle était belle et ses motifs ressortaient sous la lumière, elle avait été fabriquée par mon père comme le veut la tradition. Je m'équipais de mon arc, de mon carquois et de mes dagues. Ma femme me sou ria, je lui rendis son sourire, on savait très bien que si ça allait mal nous ne nous révérions pas mais nous ne le disions pas. Par pudeur ? Non pour éviter que le destin ne me remarque et me fasse mourir au combat.

Je rejoignis mon frère et mon père dans la grande salle, nous priâmes ensemble en l'honneur de la déesse de la Forêt et nous sortîmes rejoindre les autres hommes d'armes.

Nous étions une centaine, les familles n'étaient pas là, le Destin était bien trop craint. Nous partîmes dans les minutes qui suivirent.

La petite armée serpentait par les sentiers, nous étions invisibles. On croisa à un moment une armée d'une cinquantaine d'hommes. Je remarquai un firbolg arborant des couleurs jaune violette avec un Cerf majestueux, d'autres emblèmes représentaient une sorte de licorne aux couleurs jaunes et rouge ou encore une sorte de symbole celte sur fond blanc et bleu. Sûrement un détachement d'une alliance hibernienne quoi qu'il en soit, ils ne nous virent pas, nous étions tous maîtres de la discrétion et nous reprîmes la route.

Après quelques heures de marche, nous arrivâmes au village que nous devions anéantir. Ils était tous à leur travail, on se sépara et entourèrent les habitants.

Le plus fort de nos troupes se plaçait au niveau des femmes, les hommes viendraient les protéger et nous pourrions les attaquer de dos avec mon groupe.

Le temps de se placer, j'observais ces gens, ils abattaient les arbres et replantaient, certaines femmes préparaient la table. Il faudra se dépêcher à les attaquer avant qu'ils se dispersent.

Le signal retentit. C'était le cri d'un oiseau que seuls les elfes pouvaient reconnaître comme un signal. Chacun banda son arc et on tira. J'abattis une belle jeune femme, c'était la première flèche tirée. Je me forçais à n'avoir aucune pensée pour elle, je devenais un combattant de la forêt, je faisais mon devoir.

Ce fut la panique parmis les villageois, nos flèches touchaient à coup sûr, une autre de mes flèche se planta dans la cuisse d'un autre qui accourait auprès de la première femme. J'abattais un autre, une autre, je ne m'arrêtais plus.

Quelques hommes armés de hache tentèrent d'approcher de notre position, on sortit nos dagues et on se glissa furtivement dans leurs dos, quelques coups et ils s'effondraient.

Nous étions froid et méticuleux, nous faisions notre devoir comme le faisait nos ancêtres avant nous.

Plus aucun villageois n'étaient debout à l'extérieur et on décida de finir ceux cacher dans leurs maisons. Mon frère, mon père et moi se dirigèrent vers la maison la plus proche.

Une famille était réunie là, la mère armée d'un couteau de cuisine et le fils aîné d'une sorte de fourche. Notre coeur s'était glacé par le combat, c'était la guerre, sans rien dire, on se plaça autour d'eux, les forçant ainsi à s'écarter.

Le fils faisait face à mon père et la mère face à mon frère, d'un coup, je fis effondrer le jeune garçon, la mère se tourna alors vers moi avec colère et mon frère l'abattit. On tua les deux derniers survivants rapidement. Ils ne souffrirent pas. Nous faisions notre devoir.

Nous nous préparions à repartir quand se tint devant nous, un jeune homme, il n'avait pas la carrure d'un combattant ni d'un bûcheron et il était blessé à la cuisse. Il eu juste le temps de dégainer son épée que nous plongions sur lui et nos dagues le transpercèrent.

Tous les combattants se retrouvèrent alors devant la prairie, je n'aimais vraiment pas ces tueries mais le devoir l'exigeait...

Nous partîmes en direction du chêne millénaire afin d'y faire notre rapport au grand prêtre de la forêt.

Quelques milles après, nos arrières furent attaquer. C'était la troupe d'Hiberniens que nous avions croisé auparavant. Comment pouvaient-ils savoir ce que nous venions de faire ?

Le reste de l'armée avança pour venir en secours à nos hommes. Les hiberniens avançaient dans nos rangs avec une réelle violence, c'étaient eux aussi des hommes de guerres et ils disposaient de pouvoir de soins et de terribles sorts de combat.

Notre centre commençait à céder sous le poids de leurs armes lourdes, nos dagues ne faisaient pas assez de dégâts contre leurs armures d'écailles et notre peau brûlaient sous leurs sorts.

Mon frère périt sous mes yeux, victime d'un sort si violent qu'il en fut transpercé. Je me jetais avec rage sur l'eldritch quand le firbolg que j'avais aperçu protégea son compagnon. Il me transperça d'une dague maléfique et je sentis mes forces me quitter, je ne pouvais plus frapper. Il me transperça à nouveau et je m'effondrai.

Je pensais à ma femme, à ma soeur, à mes frères, à mon père, à ma mère, la vie que j'aurai pu avoir, aux combats que j'ai fais, au moins j'avais fait mon devoir.... et mes yeux se refermèrent sur ce Cerf d'or et de pourpre

Eldio ranger





«*Protegez les nouvelles colonies de la forêt et imposez l'ordre hibernien entre les peuplades de la région*»

Et bien, mes chers Colsk et Jour, je crois qu'on a une mission très simple de la part de la reine. Je les regardais solennellement, je suis habitué à combattre avec eux et je sais qu'on fera notre devoir tous ensemble. D'après ce que nous disait Thaanac, parti en éclaireur avec d'autres. Il y a un petit village celte un peu plus au Nord et on devrait y faire un tour voir si ils ont eu des problèmes avec les indigènes.

Oui, Colsk, peut être qu'il y aura des femmes à pouetter... mais tu sais, les lurikeens sont pas ce qu'il se fait de mieux en terme d'homme. Quoi vous êtes les plus beaux et les firbolgs sont laids ? Mais grmbl !

Oui, euh en effet, Jour, on devrait partir de suite et garder nos forces plutôt que de se chamailler.

Les hiberniens se regroupèrent et prirent le chemin du village celte. Ils avançaient tranquillement, c'était une belle journée et le soleil donnait du moral à tous. On riait dans les rangs, la bonne humeur était de mise malgré le fait qu'on devrait sûrement combattre dans peu de temps. Orbstrinn et Phaey étaient en grande discussion sur la façon de préparer une tisane. Sableblanc devisait avec Wise sur la meilleure façon de tenir son bouclier. Rash et Mymypapath discutait ensemble et se glissaient de temps en temps des secrets réservés qu'à eux seuls. Leorinna, Guedgued, Gougnotte et Daalarian enchantaient tout le monde d'un air joyeux au luth. Lanfy se moquait d'Alys. Aladore riait avec Helenna. Arlingure, Avalo et Antarheal parlaient petit bobo. Tout allait pour le mieux.

Soudain Thaanac et Valere arrivèrent essoufflés, ils revenaient du village, il avait été attaqué par une centaine d'elfes rangers connus comme fanatiques de la Forêt.

On força le pas alors, tout le monde étaient devenus sérieux, Thaanac et Valere avaient relevé des traces en direction d'un mystérieux chêne millénaire dont on nous avait parlé dans un village peu auparavant.

Soudain nous fumes sur eux, on lança nos sorts et on les attaqua avec férocité. Nos troupes étaient plus diversifiés et mieux équipées, nous primes rapidement l'avantage jusqu'à l'anéantissement de la majorité de leur armée. Les quelques survivants avaient fui dans la forêt et on les laissa partir. Ils avaient payé pour leur crime.

On enterra les morts et une prière fut faite pour eux. Le jour commençait à se coucher et on décida de repartir pour le chêne millénaire afin de réclamer la fin des hostilités envers les colons.

Quelques milles après, nous arrivâmes face au fameux chêne, la scène était impressionnante, l'arbre était immense et à ses pieds trônaient des prêtres entourés de soldats rangers. Les lumières des torches donnaient un aspect surréaliste à l'ensemble.

J'avancais en compagnie de Jour et Colsk et on présenta la requête de la reine. Nous annonçâmes aussi que nous avions abattu une de leur armée coupable d'avoir assassiné un village entier.

Les prêtres semblaient sous le choc, ils savaient qu'ils ne pouvaient rien faire face à l'armée de la reine Brygitt et que même si ils venaient à bout de ce détachement, les représailles seraient terribles.

Ils négocièrent donc un traité de paix et acceptèrent à leur grand dam de ne plus rejeter les gens de la forêt. Résignés, Ils ne leur restait qu'à pleurer leurs morts

La paix était enfin déclarée mais un village avait payé pour çà et combien d'autres avant celui ci ?

On reprit le chemin pour le village celte où on découvrit un barde encore vivant, on le soigna et l'emmena avec nous, une fois tous les habitants enterrés.

Je fis mon rapport à la Reine Brygitt, elle écouta gravement les faits, nous ne fûmes pas féliciter pour notre victoire sur les elfes mais on nous remercia d'avoir exécute les ordres.

La mission était remplie on put rentrer chez soi.

Tower sentinelle





Delrio pleura longtemps son amour perdu et reprend lentement goût à la vie.

Eldio et son frère furent longtemps pleuré aussi par leur père rescapé et par leur famille.On dit qu'Eldio eu la chance d'être ramené à la vie par des hiberniens et que maintenant, il combat pour eux. Mais ceci ne doit être que pure légende.

Tower continua ses combats, essayant de faire toujours son mieux pour son royaume.
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Messagepar Gendoline » Mer 23 Nov 2005, 12:25

Oulala, je suis triste d’apprendre que mes semblables ont pu faire une telle chose, je vous assure n’avoir eu vent de cette confrérie et de leurs méthodes…
ImageRed Army Image Les Anges de l'Ombre
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Messagepar Tower » Mer 23 Nov 2005, 16:23

Il ne s'agit que d'extrémistes, surement proches des siabras !

Mais d'après le récit d'Eldio, on peut comprendre qu'ils n'étaient pas si mauvais dans le fond.
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Messagepar Monsieurspock » Mer 10 Mai 2006, 14:21

Puisque je passais par ici...je dirais juste que je suis toujours fan :wink:
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Messagepar Tower » Mer 10 Mai 2006, 14:52

(merci, un compliment fait toujours plaisir :oops: )
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